Comment apprendre à rédiger pour le web ?
Le but de la rédaction web.
Rédiger pour le web a ses spécificités. Si l’on se lance dans la rédaction web, c’est bien pour quelque chose. Peu importe le type de contenu produit, le but est d’avoir une meilleure visibilité. C’est la raison pour laquelle le maniement des mots-clés tient une place importante.Le site pour lequel le texte est destiné gagne en trafic avec une bonne qualité de rédaction. Après tout, il ne sert à rien d’avoir une plateforme sur le Net s’il est quasiment impossible pour les cybernautes d’y accéder. Or, ce cas risque de se produire si les contenus ne sont pas approuvés par Google. Ce sera certainement du gâchis n’est-ce pas ?
rédaction web : un véritable métier !
Alors qu’avec ces bonnes pratiques, elle a plus de chance d’augmenter son audience ou ses clients selon l’activité en question. Les domaines de prédilection d’un rédacteur web.
Comme son nom l’indique, le métier de rédaction web consiste à créer des contenus textuels pour un site internet. C’est-à-dire que les écrits sont dans ce cas destinés aux internautes. Ce, dans tous les secteurs d’activités présents sur le canal en ligne.Un rédacteur web se doit d’avoir une bonne capacité d’analyse face à tous les thèmes demandés. En effet, il existe divers types de contenus et de sujets qui s’adressent à différentes catégories de cibles. Si un article publié sur un blog est souvent plus souple, les textes livrés à un site journalistique sont beaucoup plus optimisés en matière de qualité linguistique.
Dans tous les cas, de la précision et de la clarté sont requises pour avoir des contenus suffisamment accrocheurs, quel que soit l’objectif. En sachant que celui-ci change selon la plateforme concernée. Certaines productions sont utilisées à des fins purement commerciales, tandis qu’une bonne partie des documents sur le web ont des caractéristiques informatives.
Pour vous donner une idée de ce à quoi vous devez vous attendre, renseignez-vous sur les spécificités des fiches produits et des articles de journaux qui sont des exemples très courants sur le web.
Avoir un champ lexical et sémantique étendu.
Comprenez tous les rouages de la langue française pour pouvoir exercer le métier de rédacteur web de manière professionnelle. Règles grammaticales, normes sur l’orthographe, principes de conjugaison. Et à cela s’ajoute une panoplie assez élargie de vocabulaires.Le français est l’exemple le plus prépondérant, mais ces conseils sont valables pour toutes les autres langues. Les notions de base sont des vecteurs de qualité au sein de la toile. Il est quasiment impossible de produire un contenu à la hauteur de la concurrence sans ce prérequis.
La lecture est un véritable allié pour pouvoir se perfectionner. Non seulement cela élargit vos connaissances sur la langue en question, mais développe également votre inspiration. C’est encore mieux si les sources peuvent optimiser vos connaissances générales. Dans ce sens, les magazines et journaux sont plus à même d’accroître vos capacités rédactionnelles.
Plus votre sémantisme prend de l’ampleur, plus vos textes seront enrichis aux yeux de Google. Cela lui permet de mieux comprendre leur contenu et de valoriser celui-ci auprès des lecteurs.
Assimiler les techniques SEO.
Avoir un bon niveau en rédaction ne se limite pas aux connaissances liées à la langue. Avec les exigences de plus en plus draconiennes imposées par les moteurs de recherche, des règles plus techniques viennent s’ajouter à ces astuces de base.La pyramide inversée pour un meilleur référencement.
Nombreuses sont les normes devant être respectées, mais la pyramide inversée se veut un impératif pour avoir un texte bien positionné. Qui dit rédaction web, dit référencement naturel. C’est la notion qui considère la réciprocité du texte à la demande des internautes. Diverses techniques entrent en jeu par rapport à cela.Et celle-ci en fait partie. Elle consiste à intégrer une brève présentation du contenu en amont. Attention, il ne s’agit pas d’une introduction, qui est un autre élément à part entière d’un texte bien optimisé. Son rôle est de résumer l’ensemble des informations procurées dans l’article en 4 lignes au maximum. Du côté du lecteur, cette partie est vue comme étant un avant-goût l’incitant à cliquer sur le titre.
Respecter une certaine structure.
Si la première recommandation peut être facultative, bien qu’appréciée, adopter une bonne structure est un must. L’objectif est de fournir un article lisible et respectueux du balisage indiqué par Google.En premier lieu, le titre H1 représente l’intitulé de l’article. À sa lecture, les internautes devraient être en mesure de deviner le sujet à discuter. Le mieux est d’avoir un titre de 5 à 10 mots. Il est très courant de le présenter sous forme de questions comme celui de l’article ici présent. Cela vous permet de vous mettre à la place du lectorat.
Ensuite, le H2 est le premier niveau de sous-titre qui est généralement précédé d’un " chapô " et d’une introduction. Le premier est un autre résumé de l’article, mais qui fait deux lignes tout au plus. L’introduction quant à elle est beaucoup plus claire et approfondie.
Les intertitres se trouvent à l’intérieur des paragraphes principaux pour mieux présenter chaque idée de manière indépendante. À titre d’information, chaque titre et sous-titre peut contenir un mot-clé, secondaire ou principal. L’utilisation des mots-clés est, d’ailleurs, un peu délicate. En tout cas, l’idéal est de se contenter d’une occurrence par 100 mots. ....